Je sais que c’est un rendez-vous attendu chaque année par pas mal de lectrices et de lecteurs. A l’automne, Bernard Werber publie son nouveau roman. Cette année, il s’intitule La Diagonale des reines. Un titre qui fait donc référence aux échecs. Même si, comme toujours, je m’attends à beaucoup de surprises avec le romancier français !
De quoi ça va parler ?
« Et si vous n’étiez qu’un pion dans leur jeu ?
Deux femmes, deux destins, deux visions opposées du monde. L’une croit dans la force du groupe. L’autre en l’individualisme. Leur duel est inévitable… Laquelle aura l’avantage ?
Des années 1970 à 2050, entre guerres, attaques terroristes et espionnage, elles vont s’opposer sans répit et sans merci. Leur terrain de jeu s’étend aux quatre coins de la planète, devenue un échiquier géant dont les humains sont les pièces. »
Pourquoi ça risque de vous captiver ?
Parce qu’en général, les romans de Bernard Werber explorent des thèmes intéressants, et toujours de façon ludique. Après avoir refermé son cycle narratif consacré aux chats, l’auteur tricolore revient avec une histoire originale qui promet de questionner notre rapport au monde et aux autres. Des sujets d’actualité, qui pourront intéresser pas mal de gens.
Au fil des années, je n’ai pas toujours été une lectrice très fidèle de Bernard Werber. J’ai adoré certains de ses livres (notamment le cycle des dieux), mais je me suis un peu lassée à un moment. Depuis quelques années, j’ai l’impression de le redécouvrir avec plaisir à la faveur de ses derniers romans. Je pense donc que je vais me laisser tenter par celui-ci.
Et vous alors ?
C’est un auteur que je ne connais que de nom, je n’ai jamais lu ces livres. Celui-ci m’a l’air bien.
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Comme je n’ai pas encore lu celui-ci, je ne sais pas trop comment il est et s’il est adapté pour découvrir l’auteur. Mais je peux te conseiller Les Thanatonautes. C’est mon livre préféré de Bernard Werber, à la fois fascinant et captivant. Et si tu l’aimes, tu pourras lui les romans suivants (même si le livre a une fin qui se suffit à elle-même). Bonne lecture !
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