Depuis que j’ai lu Le Monde comme il me parle, j’ai développé une grande curiosité pour Olivier de Kersauson. Sa poésie rugueuse. Son inspiration qui sent bon le vent du large. Et une émotion authentique, à fleur de peau, à laquelle je suis profondément sensible. Une amie m’a récemment fait découvrir cette citation de lui, et encore une fois, les mots ont fait mouche. j’en profite donc pour partager cette belle découverte avec vous.
« Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir vivre. »